N’avez-vous pas cette étrange sensation que le monde tourne de plus en plus vite et qu’il n’est pas un jour sans qu’une nouveauté technologique ne vienne bousculer vos domaines d’expertises ? L’une des clefs réside dans la capacité à prioriser. Prioriser c’est structurer ses actions afin de ne jamais être submergé, de ne jamais se sentir dépassé, bref de se sentir maître de son navire.
Prioriser c’est structurer ses actions afin de ne jamais être submergé, de ne jamais se sentir dépassé, bref de se sentir maître de son navire.
N’avez-vous pas cette étrange sensation que le monde tourne de plus en plus vite et qu’il n’est pas un jour sans qu’une nouveauté technologique ne vienne bousculer vos domaines d’expertises ? Vous venez enfin de maîtriser un logiciel et voici qu’il est obsolète. Vous venez de mettre en place un management en mode projet, transversal et qui repose sur de nombreux échanges en réunion et voici que le télétravail est à déployer partout. Comme j’aime à le dire : avant le monde avançait. Aujourd’hui, il accélère !
Alors pour nous, une question s’impose : comment vivre le plus sereinement possible cette accélération du monde ? Comment ne pas (trop) subir l’environnement et parvenir à maîtriser le cours de son existence.
L’une des clefs réside dans la capacité à prioriser. Prioriser c’est structurer ses actions afin de ne jamais être submergé, de ne jamais se sentir dépassé, bref de se sentir maître de son navire.
Un outil simple : la matrice d’Eisenhower
Elle tire son nom de l’ancien président des USA et incontournable stratège militaire Dwight Eisenhower qui expliqua un jour comment il organisait son emploi du temps : « Ce qui est important est rarement urgent et ce qui est urgent rarement important ». Selon sa logique, il convient donc de toujours distinguer la nature urgente et/ou importante d’une tâche. Vous obtiendrez ainsi 4 emplacements où classer vos tâches :
Normalement, vous n’aurez pas de grande difficulté à effectuer ce classement. Il suffit de se poser quelque instant pour voir rapidement si une tâche est importante et/ou urgente. Quelques exemples ci-dessous mais qui ne font pas loi. Le sens des priorités est différent pour chacun.
Donner les consignes à un livreur : pas important mais urgent.
Classer mes fichiers sur mon ordinateur : important mais pas urgent.
Organiser le comité de direction de demain : important et urgent.
Réfléchir à la couleur des papiers peints de mon futur bureau : pas important et pas urgent.
Une fois votre classement effectué…
Vous n’avez plus qu’à appliquer les règles suivantes :
Pas de formule magique ici, mais théoriquement, si vous suivez ces conseils, vous reprendrez un peu le contrôle sur votre workflow, promis !